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Chapitre 1
Rencontre
J’ai faim. Il va falloir que je retourne voir si les deux-pattes ont des animaux. J’espère qu’il y aura des bonbons-ouatés. Je crois que les deux-pattes les appellent « moutons ». Je m’envole vers l’habitat de deux-pattes le plus proche. Il y en a un que j’ai survolé récemment. J’espère qu’il n’aura pas été attaqué par un autre dragon.
Je suis un dragon rouge adulte de petite taille, par rapport aux autres. Je ne les apprécie guère en général. Ils pillent les habitats des deux-pattes, ils les dévorent, et font tout pour les mettre en colère. Après on se fait chasser, les deux-pattes ont peur de nous. Je les apprécie, les deux-pattes. En tout cas, plus que la grande majorité des dragons !
Je me suis déjà amusé à les observé. J’arrive à parler leur langage maintenant. Ils aiment être en « communauté ». Ils savent s’entraider. Je ne les ai jamais vu ce battre entre eux. Ils ont construit leurs propres « armes » et propres « armures ». Je n’arrive pas encore à faire la différence entre les deux. Ils se battent contre nous les dragons, parce qu’ils ont peur, ce qui est tout à fait normal ! Les dragons sont mauvais, et ne cherchent qu’à faire la guerre.
En parlant du drak*… voilà un dragon vert foncé. Plus grand que moi, bien sûr ! J’essaie de l’éviter, mais il a l’air de tenir à me parler ou à se battre. Je me pose dans un endroit légèrement déboisé. Il me suit.
- Bien le bonjour, confrère, me dit-il dans le dragonien*.
- Bonjour, répondis-je simplement. Que me veux-tu ?
- Oh, mais rien d’important. Comment se passe votre chasse ?
C’est donc pour ça : il espère que je vais lui donner un endroit où il pourrait trouver de la nourriture.
- Assez bien. J’ai trouvé un coin où je peux me nourrir seul et tranquillement.
Traduction en langage mois poli : « Débrouille-toi ! »
- Vous êtes bien chanceux. Bonne chasse !
Il s’envole. J’ai surement irrité son égo, mais je m’en fiche. Il ne m’embêtera plus.
Je retrouve l’habitat des deux-pattes que j’avais repéré la veille. Tous ces bonbons-ouatés ! J’ai vraiment bien fait de venir ici ! Je vais prendre deux ou trois bonbons-ouatés et partir dans une grotte pour quelques temps.
Une gerbe de flamme arrive sur l’habitat. Je suis surpris, puis remarque le même dragon vert que tout à l’heure. Il m’a suivi et va me prendre MES bonbons-ouatés. Je fonce vers le dragon et le griffe à l’aile gauche.
- Ils sont à moi !
Le dragon se prépare à riposter puis renonce.
- Ils sont tous déjà cramé de toute façon ! Je les préfère crus.
Il s’en va.
Je me retourne. Les moutons brulent déjà, c’est vrai, mais ce n’est pas ce que je remarque le plus. L’habitat brule ! Il faut que je sauve ces deux-pattes, c’est de ma faute s’ils sont ici ! Une des protections s’étant effondré, je regarde par ce trou pour voir où ils sont. Il y a deux adultes qui sont coincés sous un tronc taillé et un jeune qui a l’air assommé. Je rentre comme je ne crains pas le feu et essaie de montrer que je ne leur veux aucun mal.
- Sauvez-le, dit la femelle adulte deux-pattes en pointant le jeune avant de tousser.
Ces deux pattes m’ont fait confiance très rapidement. J’essaie d’enlever le tronc taillé qui est sur eux, mais le deux-pattes mâle dit :
- Nous sommes déjà (kof*kof) presque mort. Sauvez-le.
Ils n’avaient pas totalement tort. Le tronc taillé les avait déjà bien blessés. Je prends le jeune dans ma patte et sors de la maison. Je sens la culpabilité m’envahir. Je prends un bonbon-laineux au passage, et essaie de trouver une grotte rapidement.
Aïe ! Ma tête. D’où me vient ce mal de crâne ? Je me relève lentement. Je suis dans une grotte. Il y a un feu pas très loin de moi. Où suis-je ? Où sont mes parents ? J’entends du bruit à ma gauche. Un dragon.
Il y a un dragon. Un dragon rouge sang, qui faisait au moins sept mètres ! J’ai toujours été fasciné par eux, mais je ne voulais pas en voir un d’aussi près. Je suis paralysé par la peur. Le dragon s’approche lentement de moi. Je commence à reculer.
- N’ai pas peur de moi, essaie-t-il de me calmer, d’une voix que je suppose est la plus douce qu’il puisse faire. Je ne te veux aucun mal.
Il parle mon langage ? Je continue à reculer un peu. Il continue de se rapprocher.
- Où sont mes parents ? Qu’est-ce que vous leur avez fait ?
Mon stress augmente. Il est vraiment proche de moi. Je vois un moyen de m’enfuir. Je profite de l’occasion et fonce.
- Non ! crie le dragon avant de s’envoler pour me rattraper.
J’essaie de m’enfuir, mais il est trop rapide. Il m’attrape et…
Je suis avec ma famille, nous sommes sur le point de dîner. J’ai une impression de déjà-vu. Ma mère me souris, mon père aussi. Mais un évènement vient gâcher notre moment de bonheur. La ferme brule ! Papa se lève, Maman aussi, et je panique. Une des poutres en bois du plafond tombe et les écrase sous son poids. J’essaie d’abord de retirer la poutre mais je vois rapidement que je ne suis pas assez fort. Je fonce vers la sortie pour demandé de l’aide mais je glisse et tombe tête la première contre le planchée.
… je suis de retour avec le dragon qui m’a attrapé. J’ai les larmes aux yeux. Vu comment est la dragon, Il a dû voir la même chose que moi, ou presque. Je le regarde.
- Mes parents… sanglotais-je. Est-ce qu’ils ont… ?
Le dragon hoche de la tête. Mes parents sont morts. Ils n’ont pas survécu.
Le dragon me lâche et j’éclate en sanglot. Ils étaient morts. J’aurais pu les sauver, mais je n’étais pas assez fort. J’aurais pu appeler au secours, mais je me suis évanoui avant. Je me sens impuissant. Inutile. Je me sens seul.
- Je m’appelle Ismar, fait le dragon, sûrement pour changer de sujet. Et toi ?
- Frat… parvenais-je à dire entre deux sanglots.
Drak : Cousin éloigné du dragon, parfois appelé semi-dragon. Il existe les drakhumains, les drakelfes et les draknains. Quand on parle du drak : quand on parle du loup.
Dragonien : langue des dragons, à ne pas confondre avec les drakonien qui en est un dérivé créé pas les draks, qui se rapproche du langage humain.
Rencontre
J’ai faim. Il va falloir que je retourne voir si les deux-pattes ont des animaux. J’espère qu’il y aura des bonbons-ouatés. Je crois que les deux-pattes les appellent « moutons ». Je m’envole vers l’habitat de deux-pattes le plus proche. Il y en a un que j’ai survolé récemment. J’espère qu’il n’aura pas été attaqué par un autre dragon.
Je suis un dragon rouge adulte de petite taille, par rapport aux autres. Je ne les apprécie guère en général. Ils pillent les habitats des deux-pattes, ils les dévorent, et font tout pour les mettre en colère. Après on se fait chasser, les deux-pattes ont peur de nous. Je les apprécie, les deux-pattes. En tout cas, plus que la grande majorité des dragons !
Je me suis déjà amusé à les observé. J’arrive à parler leur langage maintenant. Ils aiment être en « communauté ». Ils savent s’entraider. Je ne les ai jamais vu ce battre entre eux. Ils ont construit leurs propres « armes » et propres « armures ». Je n’arrive pas encore à faire la différence entre les deux. Ils se battent contre nous les dragons, parce qu’ils ont peur, ce qui est tout à fait normal ! Les dragons sont mauvais, et ne cherchent qu’à faire la guerre.
En parlant du drak*… voilà un dragon vert foncé. Plus grand que moi, bien sûr ! J’essaie de l’éviter, mais il a l’air de tenir à me parler ou à se battre. Je me pose dans un endroit légèrement déboisé. Il me suit.
- Bien le bonjour, confrère, me dit-il dans le dragonien*.
- Bonjour, répondis-je simplement. Que me veux-tu ?
- Oh, mais rien d’important. Comment se passe votre chasse ?
C’est donc pour ça : il espère que je vais lui donner un endroit où il pourrait trouver de la nourriture.
- Assez bien. J’ai trouvé un coin où je peux me nourrir seul et tranquillement.
Traduction en langage mois poli : « Débrouille-toi ! »
- Vous êtes bien chanceux. Bonne chasse !
Il s’envole. J’ai surement irrité son égo, mais je m’en fiche. Il ne m’embêtera plus.
Je retrouve l’habitat des deux-pattes que j’avais repéré la veille. Tous ces bonbons-ouatés ! J’ai vraiment bien fait de venir ici ! Je vais prendre deux ou trois bonbons-ouatés et partir dans une grotte pour quelques temps.
Une gerbe de flamme arrive sur l’habitat. Je suis surpris, puis remarque le même dragon vert que tout à l’heure. Il m’a suivi et va me prendre MES bonbons-ouatés. Je fonce vers le dragon et le griffe à l’aile gauche.
- Ils sont à moi !
Le dragon se prépare à riposter puis renonce.
- Ils sont tous déjà cramé de toute façon ! Je les préfère crus.
Il s’en va.
Je me retourne. Les moutons brulent déjà, c’est vrai, mais ce n’est pas ce que je remarque le plus. L’habitat brule ! Il faut que je sauve ces deux-pattes, c’est de ma faute s’ils sont ici ! Une des protections s’étant effondré, je regarde par ce trou pour voir où ils sont. Il y a deux adultes qui sont coincés sous un tronc taillé et un jeune qui a l’air assommé. Je rentre comme je ne crains pas le feu et essaie de montrer que je ne leur veux aucun mal.
- Sauvez-le, dit la femelle adulte deux-pattes en pointant le jeune avant de tousser.
Ces deux pattes m’ont fait confiance très rapidement. J’essaie d’enlever le tronc taillé qui est sur eux, mais le deux-pattes mâle dit :
- Nous sommes déjà (kof*kof) presque mort. Sauvez-le.
Ils n’avaient pas totalement tort. Le tronc taillé les avait déjà bien blessés. Je prends le jeune dans ma patte et sors de la maison. Je sens la culpabilité m’envahir. Je prends un bonbon-laineux au passage, et essaie de trouver une grotte rapidement.
Aïe ! Ma tête. D’où me vient ce mal de crâne ? Je me relève lentement. Je suis dans une grotte. Il y a un feu pas très loin de moi. Où suis-je ? Où sont mes parents ? J’entends du bruit à ma gauche. Un dragon.
Il y a un dragon. Un dragon rouge sang, qui faisait au moins sept mètres ! J’ai toujours été fasciné par eux, mais je ne voulais pas en voir un d’aussi près. Je suis paralysé par la peur. Le dragon s’approche lentement de moi. Je commence à reculer.
- N’ai pas peur de moi, essaie-t-il de me calmer, d’une voix que je suppose est la plus douce qu’il puisse faire. Je ne te veux aucun mal.
Il parle mon langage ? Je continue à reculer un peu. Il continue de se rapprocher.
- Où sont mes parents ? Qu’est-ce que vous leur avez fait ?
Mon stress augmente. Il est vraiment proche de moi. Je vois un moyen de m’enfuir. Je profite de l’occasion et fonce.
- Non ! crie le dragon avant de s’envoler pour me rattraper.
J’essaie de m’enfuir, mais il est trop rapide. Il m’attrape et…
Je suis avec ma famille, nous sommes sur le point de dîner. J’ai une impression de déjà-vu. Ma mère me souris, mon père aussi. Mais un évènement vient gâcher notre moment de bonheur. La ferme brule ! Papa se lève, Maman aussi, et je panique. Une des poutres en bois du plafond tombe et les écrase sous son poids. J’essaie d’abord de retirer la poutre mais je vois rapidement que je ne suis pas assez fort. Je fonce vers la sortie pour demandé de l’aide mais je glisse et tombe tête la première contre le planchée.
… je suis de retour avec le dragon qui m’a attrapé. J’ai les larmes aux yeux. Vu comment est la dragon, Il a dû voir la même chose que moi, ou presque. Je le regarde.
- Mes parents… sanglotais-je. Est-ce qu’ils ont… ?
Le dragon hoche de la tête. Mes parents sont morts. Ils n’ont pas survécu.
Le dragon me lâche et j’éclate en sanglot. Ils étaient morts. J’aurais pu les sauver, mais je n’étais pas assez fort. J’aurais pu appeler au secours, mais je me suis évanoui avant. Je me sens impuissant. Inutile. Je me sens seul.
- Je m’appelle Ismar, fait le dragon, sûrement pour changer de sujet. Et toi ?
- Frat… parvenais-je à dire entre deux sanglots.
Drak : Cousin éloigné du dragon, parfois appelé semi-dragon. Il existe les drakhumains, les drakelfes et les draknains. Quand on parle du drak : quand on parle du loup.
Dragonien : langue des dragons, à ne pas confondre avec les drakonien qui en est un dérivé créé pas les draks, qui se rapproche du langage humain.
Literature
Shadow of Vapor
One by one they all fall to the ground
Letting out their final silent sound
The heartrending scream of another soul drowned
Listen closely and you'll hear it. FEAR IT.
One last gasp and they all fade away
The darkness shrouds the light of day
With a bitter smoke, turning everything gray.
The second night is coming quicker. THICKER.
Clouds of blackness bring a toxic air
The living souls cry out in despair
Inhaling the same fumes, they all must share.
No escaping from the illness... STILLNESS.
Literature
Clowcadia Chapter 1 Shadow of Lineage
Clowcadia
Chapter 1
The Shadows of Lineage
Through the enchantment of the drama the traveler notices that the drama itself was the illusion that had been cast upon him but also upon the citizens of the realm from the realm’s own great dark shadows, recognizing the darkness the traveler charms the globe with fluid water magic that he has honed and distilled his entire life from his own menacing dark shadow of his own lineage. Understanding that the shadows of all realms rise from lineage before every being, it also poses great depth of magic behind the illusions that had been cast on him thus it was his duty to cast away the deception
Literature
Shadow
i am a shadow in the light
i watch and guide from afar
i'm your shadow
i am stepped on
i pretend it doesn't hurt
i feign a smile as you shine
i am stepped on so that you may smile
but it hurts more than you know
this pain you give me
i want to speak
to tell you the hurt
but i stay silent
i stay hidden
nonexistent
i am the dark to your light
without me there can be no you
in secret i am screaming
secretly i am crying
crying in silence
there is no light for me
not when i take all darkness upon me
taking it to preserve the light
i am a shadow
forever cast upon the light
forever cursed to follow
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ca fait pleurer